Mon initiation anale par Sarah

Catégories : Rencontres BDSM Gode ceinture strapon
il y a 4 ans

Sarah est grande, brune, un visage souriant, des formes agréables. Elle porte bien sa quarantaine. C’est une bonne copine, et ma femme ne soupçonne pas que nous ayant une relation épisodique.

Chez elle, j’aimais son insatiable appétit de sexe, son ingéniosité dans les positions, son attirance immodérée pour la sodomie, sa façon de pratiquer la fellation et l’anulingus. Un soir que nous fumions une cigarette après avoir fait l’amour, sa main libre descendit jusqu’à ma queue au repos. Malgré ses caresses, je ne rebandais pas. Elle me prit alors en bouche pour une de ses mémorables pipes dont elle a le secret. Et toujours pas de réaction. Tout en me caressant les bourses, son autre main se glissa entre mes fesses. Je sentis bientôt un doigt me caresser l’œillet.

Elle s’humectait de salive, et revenait sur ma pastille qui s’assouplissait, puis son doigt allait chercher sa mouille et graissait ainsi mon conduit étroit, si bien qu’au bout de quelques mouvements de ce type, son doigt me pénétra sans difficulté. Mon membre reprenait vigueur. Elle n’eut pas à f o r c e r beaucoup l’étroit passage, deux doigts bientôt me fouillaient ardemment l’intérieur. J’aimais ça, elle s’en rendait compte, et me le dit. Nous refîmes l’amour cette nuit ci, elle continuant à m’élargir pendant tout le temps où nous avons baisé. J’y ai pris un plaisir nouveau.

Quelques jours plus tard, elle me téléphone pour me proposer un rendez-vous dans un sex-shop, chose que nous aimions à faire de temps en temps. A l’heure prévue, je m’y présentais. Contrairement à nos habitudes, elle n’était pas au rayon des vidéos, mais des accessoires. J’insistais sur le baiser fougueux que je lui donnais pour que les mâles en rut arrête de la reluquer. Je commençais à bander dans cet environnement où la libido est sollicitée en permanence. Lorsque Sarah m’a demandé « Qu’en penses-tu ? » en me montrant un gode-ceinture, une bouffée de chaleur m’envahit, et je pense avoir rougi. Elle interpréta mon silence comme un oui, ce en quoi elle n’avait pas tord. En payant à la caisse, j’étais rouge comme une pivoine, mais en même temps je bandais comme un fou.

Arrivés chez elle, nous étions tous les deux très excités et c’est presque en courant que nous nous sommes retrouvés nus dans sa chambre, avec notre achat… « Avant toute chose, je vais le laver et le désinfecter, on ne sait jamais » dit-elle. Je l’attendais allongé sur le lit, me caressant doucement, ce qui me maintenait dans une érection un peu molle. En entendant la porte de la salle de bain s’ouvrir, je me retournais pour voir Sarah dans l’encadrement, un sexe factice fièrement pointé dans ma direction. Je dois avoué que ça fait drôle, j’étais troublé, je crois que elle aussi, d’autant plus que le gode est double et il y avait donc déjà un sexe factice en elle.

« Ce soir, mon chéri, on inverse les rôles. Je suis l’homme, et maintenant que ton côté féminin est assumé, tu changes de sexe pour la nuit, ok ? » Me dit-elle en s’approchant du lit le regard fixé sur ma queue qui avait bien grossi en quelques secondes. Arrivée au bord du lit, elle avait un regard étrange en me demandant « Tu veux bien me sucer, pour commencer ? » Je n’avais toujours pas dit un mot, et j’ouvrais la bouche pour la première fois pour lécher la queue juste devant moi. Je ne savais pas comment faire, je repensais à elle dans la même action, et petit à petit, mes mouvements sont devenus naturels. Je léchais d’abord de la base au gland, tournait ma langue tout autour, puis redescendais jusqu’aux bourses, avant de remonter encore et emboucher le latex.

Ce moment délicat est le moins facile de la fellation, aussi je m’y repris à trois fois avant de l’avoir bien en bouche. J’allais et venais sur la tige. « Tu suces bien, mais tu ne prends pas à fond » me dit Sarah, tout en me posant ses mains sur la tête pour guider mon rythme et me faire avaler sa queue en entier. Je sentais monter la jouissance de Sarah, la queue en elle devant transmettre les mouvements de ma succion. De mon côté, j’avais mal à f o r c e de bander, mais ni elle ni moi ne pouvions toucher à ma queue dans cette position. Sarah se mit à trembler, signe de son extase, et se libéra de ma bouche. J’avais mal aux mâchoires, mais son compliment me rassura sur mes facultés dans ce domaine. « Pour une première fois, bravo ! Tu serais une femme, tu connaîtrais les expressions du genre : elle suce bien la salope, elle est bonne,… » En tout cas, ta vue et mon gode interne ont été super pour mon orgasme.

« Mets toi allongé sur le ventre, je vais bien m’occuper de toi ». Je lui répondis « Attention, tu sais que c’est la première fois, je recherche le plaisir, pas la douleur ! » « Laisse moi faire, décontractes-toi, tu dois avoir confiance en moi ». Je me laissais aller car j’avais effectivement pleine confiance en elle.

La tête dans mes bras croisés, je la regardais m’écarter les cuisses, puis je la sentis m’écarter les fesses délicatement et sa langue se poser sur ma pastille, qu’elle lécha tout d’abord très doucement, et petit à petit plus durement jusqu’à passer les sphincters. C’était génial. Au bout de 5 minutes de ce traitement, une perle de mouille sortait de mon gland. Elle sortit alors le pot de gel spécial du tiroir de la table de nuit, et m’en badigeonna l’entre-fesse en faisant entrer facilement un, deux, puis trois doigts.

J’étais étonné de ne pas avoir mal, je me sentais ouvert, je relevais même mon bassin pour mieux les recevoir. Elle en profita pour glisser un gros oreillé sous mon ventre, ce qui devait me donner une posture particulièrement obscène. « Mon chéri, c’est maintenant que tu vas être dépucelé » m’annonça-t-elle en posant le gland sur son œuvre, mon œillet détendu et impatient. Mais le morceau était gros. Je geignais lorsqu’elle poussait, et soudain j’étouffais un cri lors du passage. Elle s’arrêta, et me dit « C’est toi qui me dit si tu veux continuer ou arrêter. Saches que le plus dur est fait, et que maintenant je te promets une nouvelle sensation »

Je m’entendis lui répondre « Vas-y, tu peux y aller, doucement. Oui. Encules moi »

Elle poussa son pieu lentement, jusqu’à la moitié de la tige, une nouvelle pose, et encore lentement à fond. J’étais écartelé et rempli. Elle entama des allers et retours, de plus en plus vite, me tenant les hanches et de temps en temps en tirant sur ma queue ou mes bourses. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle je me faisais mettre. J’étais comme fou. Je lui disais « Oui, à fond, je suis ta chienne, baise moi bien ». Et elle « Alors petit homme, tu aimes te faire enculer » Et comme ça jusqu’à la jouissance simultanée après laquelle nous sommes tombés ensemble sur le lit et endormis.

Au matin, elle me réveilla en me susurrant à l’oreille « Tu es maintenant près pour que je te présente mon autre amant, qui est bi »….

Mais c’est une autre histoire !

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